

mouvements
Personnel administratif
A été nommée directrice des affaires financières : Louisa Saidani
Sont arrivés
- au 1er mai : Anthony Rohat, responsable de la sécurité
- au 1er novembre 2024 : Salima Moussa, gestionnaire RH des enseignants permanents
- au 1er octobre 2024 :Valentin Taburel, Responsable de collection et valorisation. Développement numérique au sein de la médiathèque ; Sybille Le Vot, responsable à mi-temps du pôle « Archives »
- au 1er septembre : Christine Leconte, nouvelle directrice ; Jennifer Lelièvre sur le poste de chargé de formation HMO et Mastère scénographie
Personnel enseignant
Sont arrivés ou ont été titularisés :
- Béatrice Jullien, promue PROF TPCAU (concours)
- Charles-Elie Delprat, titularisé MCF ATR (concours),
- Arnold Pasquier, titularisé MCF ATR vidéo (concours),
- Angèle Denoyelle, titularisé MCF VT (concours),
- Loïse Lenne, MCF TPCAU (mutation),
- Julie Lafortune, MCF TPCAU (mutation)
- Marina Rotolo, recrutement MFCA SHSA,
- Joseph Maussion, en cours de recrutement MCFA STA (demi-poste)
- Louise Collet, enseignante contractuelle en dessin L1,
- Cynthia Walsh, enseignante contractuelle en dessin L2,
formation
Retrouvez l’ensemble des formations sur Sémaphore
Le compte personnel de formation (CPF) est un crédit d’heures qui peuvent être mobilisées pour suivre une formation et en obtenir le financement, pour préparer et mettre en œuvre un projet d’évolution professionnelle. Il doit être en lien avec les missions occupées ou avec les missions envisagées à plus ou moins long terme.
Plus précisément, le CPF est mobilisé à l’initiative de l’agent :
• pour une formation utile à la réalisation d’un projet d’évolution professionnelle (effectuer une mobilité professionnelle, accéder à de nouvelles responsabilités, s’inscrire dans une démarche de reconversion professionnelle),
• pour préparer un concours administratif ou un examen professionnel : en plus des 5 jours de droit pour suivre une formation, un agent inscrit à un concours ou examen professionnel peut utiliser son CPF pour couvrir le temps de formation non pris en compte dans la décharge. L’agent utilise son compte épargne temps (CET), et à défaut son CPF, pour dégager du temps de préparation personnelle dans une limite de 5 jours au total par année civile,
• pour un bilan de compétences ou une validation des acquis de l’expérience (VAE)
L’agent, à l’appui de ses demande transmet un courrier présentant son projet professionnel, précisant l’objectif, la nature, le contenu pédagogique et le programme de la formation, et motive le choix de l’organisme, fournit un devis précisant la durée, le calendrier et le coût de la formation, et transmet le RIB du prestataire.
L’avis du supérieur hiérarchique est d’abord demandé, en fonction des nécessités de son service.
C’est ensuite au niveau du service RH puis de la direction de l’école que la demande est étudiée, en fonction du coût de la formation dont la prise en charge peut être plafonnée, et la comparaison avec un autre organisme pour la même prestation, tout cela dans le respect du cadre du budget annuel alloué pour les formations individuelles.
Les droits acquis de chacun sont consultables sur le site :https://www.moncompteformation.gouv.fr/espace-prive/html/#/
Le pôle RH est disponible pour échanger sur le sujet du CPF en particulier et, plus globalement, sur celui des formations.
handicap
Contact
Mélanie Pilon
responsable du pôle ressources humaines
envoyer un message
01 53 38 50 06
Missions
- Coordonner l’ensemble des actions en faveur des étudiants en situation de handicap :
– participer à l’élaboration de la politique en matière de handicap de votre établissement et coordonner les actions permettant sa mise en œuvre
– relayer et décliner au sein de votre établissement, les actions prévues au niveau national. - Assurer l’accueil et l’accompagnement des étudiants en situation de handicap :
– assurer l’accueil, l’orientation et l’accompagnement des étudiants en situation de handicap de leur
entrée dans l’enseignement supérieur jusqu’à leur insertion professionnelle ;
– analyser les besoins de l’étudiant avec les acteurs concernés en procédant, le cas échéant à des
aménagements (aménagements d’examens et de concours, aide humaine, technique … ) - Sensibiliser les étudiants et le personnel au sujet du handicap afin de prévenir les discriminations et favoriser une meilleure compréhension des besoins des étudiants en situation
de handicap. - Représenter l’établissement pour les sujets relatifs au handicap, notamment au sein du réseau des référents handicap des établissements de l’enseignement supérieur culture auxquels vous appartenez.
dispositif de signalement
Contact
Paule Immath
directrice des ressources humaines et des moyens de fonctionnement
envoyer un message
01 53 38 50 10
L’Énsa-PB dispose d’un dispositif de signalement et de traitement des violences sexistes et sexuelles, du harcèlement moral et des agissements discriminatoires.
Dans le cadre des orientations définies par le ministère de la Culture et du plan d’action pour l’égalité entre les hommes et les femmes (approuvé par le conseil d’administration le 1er juillet 2021), l’Énsa-PB met à disposition de tous (étudiants, personnels administratifs, enseignants) ce nouveau dispositif afin de garantir un cadre d’étude et de travail serein.
Quels sont les faits concernés par le dispositif de signalement ?
Consultez la liste des comportements qui peuvent faire l’objet d’un signalement.
Il peut arriver, parfois, qu’on ait le sentiment d’avoir vécu quelque chose d’anormal, mais qu’on ne sache pas très bien si c’est interdit ou non. La première chose à avoir en tête, c’est que si quelque chose vous met mal à l’aise, il y a sans doute un problème. Il peut s’agir de quelque chose de grave ou non. Le plus simple est d’en parler à une personne qui pourra vous aider à identifier la nature des faits. Vous pouvez vous tourner vers la médecine de prévention, la cellule d’écoute ministérielle (Consulter la liste des interlocuteurs clés.), la direction des études ou encore vos délégués si vous êtes étudiant, la direction des ressources humaines ou vos représentants syndicaux si vous êtes enseignants ou agents administratifs.
Vous êtes victime / ciblé, témoin direct ou indirect. Qui contacter ?
Si vous êtes victime ou témoin de tels faits, vous pouvez envoyer un courriel à l’adresse signalement-ensapb@groupe-egae.fr. Il sera traité par Egaé, expert dans la prévention de ces violences et vous serez recontacté(e) dans les 48 heures (jours ouvrés) pour fixer une date d’entretien. En fonction des éléments fournis et de la gravité des faits relatés, des procédures administratives ou pénales pourront être engagées par l’école.
A la suite de cet entretien, une note synthétique confidentielle sera adressée pour le personnel de l’École (enseignants et ATS) à Paule Immath, directrice des ressources humaines et des moyens de fonctionnement.
Votre identité ne sera communiquée qu’avec votre accord ou en cas de danger grave et imminent. Les personnes qui témoignent bénéficient d’une protection. Les agents ou enseignants ne peuvent faire l’objet de mesures de rétorsion sur leurs conditions de travail ou leur évolution professionnelle. De la même manière, aucune sanction ne pourra être prise à l’encontre des étudiants qui auront signalé de bonne foi des faits de violences.
Que se passe-t-il après la transmission de la note synthétique ?
• Si les faits se révèlent être hors du champ du dispositif de signalement (relations conflictuelles, problèmes d’organisation du travail…), la personne est orientée vers les bons interlocuteurs pour traiter la situation.
Exemples : un agent rencontre des difficultés dans son travail, une collègue est un conflit avec un autre, un intervenant a une question sur ses droits sociaux, une étudiante n’accepte pas la note de son enseignante, une personne est témoin de violences dans sa vie personnelle.
• En cas de signalement d’un agissement sexiste ou discriminatoire, plusieurs réactions sont possibles : un rendez-vous peut être organisé avec la personne mise en cause pour rappeler les règles collectives ; un avertissement (trace écrite) peut être inséré dans son dossier personnel ; en fonction de la gravité des faits rapportés, une procédure disciplinaire peut être engagée en suivant les règles de procédure et en assurant les droits de la personne mise en cause. S’il s’agit d’un étudiant, le directeur de l’École « peut, après consultation d’une commission de discipline, prononcer une mesure disciplinaire ». S’il s’agit d’un membre du personnel administratif ou enseignant, la procédure de sanction administrative est mise en œuvre conformément aux dispositions du Code général de la fonction publique.
Exemples : un étudiant dit en cours « les femmes et l’archi ça fait deux, c’est bien connu » ou tient un propos dégradant envers les femmes, un enseignant fait une remarque sur le côté « efféminé » d’un collègue, une intervenante tient un propos transphobe.
• En cas d’un signalement pour harcèlement sexuel, discriminatoire ou moral, exhibition sexuelle, agression sexuelle ou viol, plusieurs mesures peuvent être mises en place.
Si les faits ne sont pas suffisamment établis au moment du signalement, des entretiens exploratoires peuvent être organisés. Des mesures de protection destinées à protéger la ou les personnes ayant signalée les faits peuvent être mises en place. Une enquête impartiale, rigoureuse et contradictoire est menée par le groupe Egaé.
Cette enquête comporte 4 étapes :
- L’information de la personne mise en cause ;
- La réalisation des entretiens avec la personne ayant signalé, les témoins directs et indirects et la personne mise en cause. Après chaque entretien, un compte-rendu est envoyé à la personne pour signature et éventuelles modifications ;
- Le recueil des éléments matériels (mails, photos, captures d’écrans, SMS, etc.) ;
- La rédaction du rapport d’enquête. Ce rapport est remis à la direction de l’École, qui dispose du pouvoir disciplinaire et qui décidera de prendre les mesures qui s’imposent.
Selon les résultats de l’enquête, une procédure disciplinaire peut-être déclenchée et le procureur de la République est saisi en cas de délit ou de crime.
Exemples : un étudiant envoie des messages à connotation sexuelle répétés à une camarade qui la mettent mal à l’aise, des collègues montrent leur sexe lors d’une soirée après le travail, un enseignant propose à une étudiante un stage en échange d’actes sexuels.